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issy les moulineaux - Page 2

  • VANVES DISPOSE D’UN NOUVEAU POLE SOCIAL DEPARTEMENTAL MAIS A ISSY LES MOULINEAUX

    Vanves est concerné par le nouveau pôle social départemental inauguré la semaine derniére à Issy les Moulineaux par Georges Siffredi, président du Conseil Départemental des Hauts de Seine (CD 92) avec les maires de Vanves  (Bernard Gauducheau) et d’Issy les Moulineaux (André Santini) qui se situe à deux pas du tramway et de la future gare Issy RER du Grand Paris Express.. Car depuis le 26 Septembre,  il accueille les habitants de Vanves et d’Issy-les-Moulineaux mais aussi de Clamart et  Meudon.. Il  vise à faciliter le parcours des usager, du plus jeune au grand âgs et à améliorer les conditions d’accueil et de prise en charge par les professionnels.

    Il constitue le pôle central d’un maillage avec des antennes de proximité dans chacune des communes. «Avec cet équipement innovant, nous regroupons l’ensemble de l’offre sociale et médico-sociale de notre Département, avec un seul objectif : assurer un accompagnement intégral, qui prend en compte l’ensemble des difficultés auxquelles nos concitoyens sont confrontés » a indiqué Georges Siffredi, président du CD 92 lors de son inauguration

    Le pôle social départemental réunit sur un même site des équipes pluridisciplinaires (plus de 10 métiers sont représentés : assistants sociaux, conseillers en économie sociale et familiale, éducateurs spécialisés, psychologues, infirmières puéricultrices, auxiliaires de puériculture, médecins, sages-femmes, conseillères conjugales et familiales, éducateurs de jeunes enfants, assistantes administratives et gestionnaires d’offres de service) en charge de services sociaux et médico-sociaux dédiés à la protection maternelle et infantile, à la santé sexuelle, à l’action sociale et à l’insertion, à l’aide sociale à l’enfance. «Cette organisation, «en transversalité» se reflète dans l’aménagement des lieux» a décrit le président du CD 92 « Les usagers sont d’abord orientés vers une unité d’accueil pour préinstruire leurs situations et être accompagnés dans leurs démarches en ligne pour l’accès aux droits. Se trouve ensuite l’unité d’évaluation, dont la mission est de déceler l’ensemble des fragilités pour proposer un parcours d’accompagnement complet et adapté, que vous pouvez ensuite suivre dans la durée, afin que notre soutien s’inscrive dans le temps long lorsque cela est nécessaire »

    Ainsi, le Département des Hauts-de-Seine a entrepris depuis quelques années la modernisation de l'ensemble de ses sites sociaux de proximité (Châtenay-Malabry en 2016, Villeneuve-la-Garenne en 2018, Châtillon en 2019, Asnières en juin 2023). Avec 969 M€ dédiés aux solidarités en 2023, il s’agit d’un axe majeur de la politique départementale au travers de dispositifs adaptés aux familles et aux publics fragilisés (les personnes âgées, les personnes handicapées, les familles en difficultés, les personnes en insertion socio-professionnelle). Les pôles sociaux représentent un maillon essentiel de l’action départementale pour favoriser le lien social de proximité.

    Ce pôle s’inscrit dans un maillage de proximité, qui mise sur l’articulation des services et des acteurs pour que chaque Alto-séquanais dispose d’un pôle social à moins de 20 minutes de chez lui et, quand ce n’est pas le cas, d’une antenne départementale à moins de 15 minutes. «Mais c’est tout aussi vrai pour nos antennes de proximité implantées dans chacune des Villes, notamment nos unités de protection maternelle infantile, comme  Mary Besseyre à Vanves. Cette dernière implantation accueille d’ailleurs des agents des services de la petite enfance de la commune, venant renforcer concrètement les liens entre la Ville et le Département ainsi que la complémentarité entre les dispositifs d’accompagnement que nous proposons » a indiqué Georges Siffredi

  • SŒUR MARIE MADELEINE CASEAU, MERE SUPERIEURE DES BENEDICTINES DE VANVES A RENCONTRE LE PAPE FRANCOIS JUSTE AVANT MARSEILLE

    Après ses trois jours de visite du Roi Charles III en France auquel a participé un vanvéen, Paul Guillaud, président de l’UNC de Vanves, puisqu’il était présent à la cérémonie d’accueil et de ravivage de la Flamme mercredi dernier, c’est au tour du pape François d’être accueilli à Marseille depuis hier en d’après midi. Une vanvéenne a eu l’occasion de le rencontrer, une semaine auparavant : Sœur Marie Madeleine Caseau, mére supérieur des Bénédictines de Vanves (sur la photo) qui participait à un congrés international des Oblates bénédictins. Elle lui a remis le livre de Sœur Colomban qui a vécut au prieuré Saint Bathilde « Mémoire d’avenir – fondation d’un monastère de bénédictines sur les hauts plateaux du Viet-Nam (1954-1975) » et une médaille du centenaire de Sainte Bathilde : « C’est pour moi ! » m’a-t-il dit. « Merci beaucoup ! Priez pour moi !» témoigne sœur Marie Madeleine qui a été émue par cette audience privée où il a salué chacun des 170 participants à ce congrés, après une intervention sur l’hospitalité. Pas sur le coup. « Mais c’est lorsque je suis rentré samedi matin au prieuré, lors d’une des priéres du matin, que je suis restée sans voix »  C’est le troisième pape qu’elle a rencontré avec Benoit XVI et Jean Paul II  

    Occasion de rappeler qu’un pape était venu tout à côté de Vanves, au Séminaire Saint Sulpice  dont les murs longent une partie de notre ville : Le pape Jean Paul II était venu  à l’occasion de sa première visite en France. A l’époque, jeune localier collaborant à Point d’Appui, journal municipal d’Issy les Moulineaux et la Tribune Régionale, j’avais couvert son court séjour au séminaire d’Issy les Moulineaux, un certain dimanche 1er Juin 1980. Il était arrivé en hélicoptére blanc qui s’était posée dans le jardin intérieur grâce à un pilote expérimentée, balayant tous les parterres de fleurs qui avaient été plantés par le jardinier pour cette occasion. Dés sa descente, il avait été salué par la municipalité conduite (déjà) par le tout jeune maire André Santini, entouré de certains de ses collègues. Déjà, beaucoup de ceux qui l’ont approché de prés à cette époque, étaient impressionné par son regard, son attention aux autres, exprimant une foi profonde. Et très vite, il avait rejoint dans la chapelle du séminaire, exacte réplique de celle du Château de Versailles, l’ensemble des evêques français pour une réunion à huis (photograhié par le photographe officicel du Vatican, celui de Paris Match et un modeste localier qui a donné un  tirage aux archives de la ville).

    En dehors des photos, il reste un autre témoignage de cette réunion : les fauteuils sur lesquels se sont assis le souverain pontif, l’archevêque de Paris Mgr Marty et quelques grands cardinaux. Aujourd’hui ils trônent dans la salle des mariages de l’hôtel de Ville d’Issy avec une plaque rappelant le nom des éminences. André Santini avait alors, à l’époque, accepté de prêter les fauteuils de la Municipalité à l’église de France pour cette réunion.

    Mais ce n’est pas tout, car André Santini avait joué un grand rôle pour que Jean Paul II sorte en voiture découverte du séminaire pour traverser les rues d’Issy où s’étaient amassée une foule très nombreuse. Il avait négocié pied à pied avec Mgr Macinkus, célébre cardinal américain à la carrure de rugbyman qui était chargé de sa sécurité, alors que le pape rencontrait les représentants français des autres cultes, puis les jeunes séminaristes avec lesquels il avait diné. Cette négociation fut couronné de succès. Il est vrai que la sécurité d’alors, n’avait rien à voir avec celle d’aujourd’hui, après l’attentat de la place Saint Pierre. Et quel ne fut pas la surprise de l’un des officiers de police du commissariat d’Issy les Moulineaux de voir sa fille soulevé et embrassé par le pape pour le plus grand plaisir de la foule, lorsque Jean Paul repartit pour sa rencontre mémorable avec les jeunes au Parc des Princes, en voiture décapotable à travers les rues d’Issy. C'est pourquoi le jardin public ouvert sur une partie du domaine du séminaire porte le nom de Jean Paul II. 

  • VANVES DEVIENDRA-T-ELLE PILOTE POUR SES ECOLES EN MATIERE DE TRANSITION ECOLOGIQUE ?

    Comme il l’a expliqué ce week-end à l’occasion des Journées Européennes du patrimoine, le maire de vanves s’inscrit tout à fait dans les objectifs du président Macron qui préconisent 2H de sport hebdomadaire au sport, car sa villle a été précurseur en la matière grâce au docteur max Fourestier avec ses expérimentations de mi/tiers temps pédagogique à l’école Gambetta et de classe de neige à la Féclaz. Et il continue aujourd'hui en développant une politique municipale sportive tournée résolument vers les jeunes tout en gardant le chalet du col de Sire à la Féclaz pour développer les classes de découverte. Il sera sûrement attentif, s’il veut que sa ville reste précurseur, à d’autres initiatives prises par le chef de l’Etat avec son ministre de l’éducation nationale qui  a annoncé le déblocage en 2024 de 500 M€ du fonds vert pour la rénovation énergétique des écoles, avec l'objectif d'adapter 49.000 établissements scolaires au réchauffement climatique d'ici dix ans.

    Gabriel Attal, qui siège au conseil municipal de Vanves, a présenté la semaine dernière avec son collègue, Christophe Béchut, ministre de la Transition écologique, le comité d’animation du plan de rénovation écologique des écoles. La rénovation des bâtiments publics est un levier essentiel de la stratégie du Gouvernement pour respecter les objectifs de baisse de la consommation énergétique et baisse des émissions de gaz à effet de serre dans le bâtiment d'ici 2030. Cette priorité doit permettre d’offrir aux élèves et aux équipes pédagogiques de meilleures conditions pour étudier et travailler. Parmi les bâtiments scolaires, les écoles primaires sont gérées par des communes ou des intercommunalités, souvent moins outillées que les départements ou régions, qui auront plus particulièrement besoin d’un appui de l’Etat afin de relever ce défi.

    C’est pourquoi la rénovation des écoles fait l’objet d’un plan spécifique, qui reposera sur trois piliers : Un cap collectif avec la rénovation de 40 000 établissements scolaires en 10 ans ; un accompagnement de l’Etat par des outils de financement comme le Fonds vert renforcé dès 2024 par une enveloppe complémentaire de 500 millions d’euros dédiée aux écoles ; et une gouvernance intégrée au niveau national et territorial, animé par l’Etat

    Le maire de Vanves devrait même s’inspirer de la ville d’Issy les Moulineaux qui a lancé un dispositif pour végétaliser les cours d’écoles « Décour’verts » : Il s’appuie sur une démarche de co-conception et co-production avec les élèves et les communautés pédagogiques. Il se traduit par des interventions autour de 3 axes : Tout d’abord un rafraîchissement des cours des écoles par la  végétalisation, l’introduction de nouveaux revêtements clairs et perméables, ainsi que l’utilisation de matériaux biosourcés. Ensuite, par le déploiement de nouvelles activités pédagogiques avec les plantes, le sol, l’eau et en adéquation avec les usages pédagogiques existants. Enfin, par une meilleure gestion des eaux pluviales, par la désimperméabilisation et la mise en place de système de récupération de la pluie. Un projet pilote a été menée durant l’été 2022 dans la cour de l’école E.Renan : La surface perméable  a été augmentée de 300 m2, une piste cyclable de 107 m2 en béton drainant a été réalisée et 150 arbres et abrisseaux ont été plantés dans la cour et tout le long de l’école pour apporter de la fraicheur. Les cours de 3 autres écoles ont été végétalisées durant cet été aux Chartreux, Chabanne et Colombier.